Desseins humains d'essence divine
Au premier abord, s'ouvre cet espace de connaissance. Subtil, il nous entraîne vers une reconnaissance mutuelle plus profonde. Puis, montera en vous, l'élan ascensionnel avec l'âme qui vibre ici. Son être désirant que les mots, intimes, relient nos cœurs, que l'énergie, incarnée, pénètre nos corps et que l'esprit, conscient, veille toujours ici en diffusant son humble et authentique lumière. Bienvenue! Avancez, douce aimant, en pleine lumière et respirez profondaimant en zones sombres ...
« Et si jamais ton cœur venait à pleurer, laisse la vie y couler ... Sache que dans tes yeux ainsi éclaircis, l'on verra ton âme qui sourit! » ~ Jyotananda
NOTE d'ambiance : à chaque page, un accompagnaimant musical se propose pour vous inciter à un rythme de lecture, à écouter les vibrations entre les mots, à goûter en même temps le dedans, l'enveloppant, l'inspirant ... « notre » moment d'intimité. Ici, ton âme n'est jamais seule!
jeudi 22 juin 2017
Ne rien attendre et être dans la gratitude au présent!
mercredi 17 mai 2017
SI UN JOUR TU T'AVENTURES
à l’intérieur de toi
sache que résonnera
une musique unique
que chacun de tes pas
petit ou grand te libèrera
Si un jour tu t’aventures
au cœur de ta vie
pars en silence
parce que le chemin
de mille façons te parlera
Si un jour tu t’aventures
ne sème que l’amour
tout au long de ta route
ainsi tu retrouveras, un jour
des âmes en fleurs pour ton retour
Car on revient toujours
par le chemin de l’amour
~ © Jyotananda Sathyam
17 mai 2014
mardi 16 mai 2017
La CLÉ de notre SÛRE VIE : l’HUMILITÉ entre NOUS et face à la TERRE mère!
Devenir humble face à nos frères et sœurs humaines, nécessite de reprendre conscience de notre vraie et profonde nature, de retrouver l’essence de notre humanité, d’être reconnaissant et reconnaissante pour cette vie humaine qu’il nous est donné d’expérimenter et d’en honorer l’inestimable valeur en la respectant, la préservant et l’aimant dans toutes ses formes d’expression … en moi et chez l’autre.
Dans le courant de nos vies, vivre humblaimant c’est d’abord reconnaître nos limites physiques et l’arrogance de notre ego dans sa prétention à vouloir et pouvoir dominer la matière et la vie et, ensuite, c’est assumer notre responsabilité face à l’infini pouvoir de notre esprit quand il s’allie à l’intelligence suprême du cœur.
Et, de là, rayonnant de notre consciente et bienveillante humanité, pouvoir se relier, du cœur de soi au cœur des autres êtres humains. En toute connaissance de notre essence commune et en gratitude reconnaissante pour nos spécificités individuelles.
Face à la Terre …
L’humilité, pour les Terriens et Terriennes de toute espèce (humaine, végétale, animale, minérale, etc.) c’est d’accepter la force supérieure des éléments vivants, l’intelligence remarquable des systèmes naturels, la parfaite orchestration des Lois naturelles et universelles ainsi que l’immense beauté de cette Terre et de tout ce qui y vit. C’est la respecter et cesser de l’exploiter et se l’approprier, c’est renoncer à se battre contre elle et déclencher ses réactions naturelles et plutôt chercher à mieux la connaître et la comprendre afin de mieux vivre et plus longtemps en corps … en son cœur, notre être bercé par son abondance et générosité naturelles.
Sans l’incarnation de cette authentique humilité, les êtres humains de la présente civilisation finiront bien par s’auto-détruire encore une fois et la Terre nous survivra ... encore une fois !
~ © Jyotananda Sathyam
jeudi 11 mai 2017
CONSCIENCE et AMOUR pour élaborer SON propre BAUME PARFUMÉ !
Tout ce que j’ignore en moi … flétrit
Tout ce que j’aime de moi … s’épanouit
Tout ce que je n’aime pas de moi … pourrit
Toute blessure que je soigne … cicatrise
Toute blessure que je néglige … demeure sensible
Et tout cela est vivant en moi, près de la source qui me nourrit, en train de fleurir ou de flétrir, de s’épanouir ou de pourrir, de cicatriser ou de me faire souffrir.
Et tout cela se dégage de moi en vibrations et se répand en un parfum autour de mon corps.
Oui, tout ce qui vit en moi constitue l’essence et la puissance de mon baume parfumé … l’amour et les peurs, la vérité et les illusions, les caresses et les agressions, tout !
~ © Jyotananda Sathyam
samedi 6 mai 2017
L'ÉVEIL au COEUR de sa NUIT
Par foi, il faut
que l'être s'éveille à nouveau,
une fois en corps, seul,
au coeur de sa propre nuit
pour retrouver sa lumière qui y luit
et ranimer en son âme
l'amour propre.
~ Jyotananda Sathyam
dimanche 23 avril 2017
Confier OMBRE et LUMIÈRE à la RIVIÈRE
Accueillir son ombre et sa lumière
bien les traiter à l’amour en soi
puis les confier à la rivière
Poursuivre ainsi
le courant de sa propre vie
en toute conscience
de ce qu’on laisse derrière …
~ © Jyotananda Sathyam
vendredi 21 avril 2017
CICATRISER synonyme de GUÉRIR !
1. RECONNAÎTRE que l’on est blessée, blessé
Peu importe qui ou comment l’on a été blessée (une situation, une autre personne ou soi-même), volontairement ou pas, physiquement ou affectivement … il faut accueillir et reconnaître la blessure, sans honte et avec amour, pour pouvoir se soigner et guérir car cela est en notre pouvoir et notre responsabilité!
2. Avoir le COURAGE d’EXPOSER sa cicatrice à la LUMIÈRE, à l’AMOUR
Que la blessure soit intérieure affectant notre cœur ou encore sensible sur notre corps, vient un moment où, pour permettre la cicatrisation (guérison) complète, après avoir soigné avec tous les baumes possibles… il nous faut, avec courage malgré la vulnérabilité, exposer notre cicatrice à la lumière.
De même, que nous demeurons responsable d’être vigilant et vigilante pendant cette exposition, reconnaissant notre zone sensible avec bienveillance. Ce n’est pas le devoir des autres de faire attention à nous et encore moins de deviner que nous sommes vulnérables, surtout si nous ne le faisons pas nous-même. Le courage et l’humilité ce n’est pas de faire comme si on était pas blessé, mais bien de prendre soin de soi et de demander de l’aide si nous en avons besoin, en tout temps et surtout le temps où l’on doit exposer sa blessure, sa vulnérabilité et sa sensibilité.
Cicatriser, pour le corps ou le cœur, veut dire « apaiser la douleur et refermer la plaie. » Cela veut dire d’aller jusqu’au bout du processus de guérison, de pardonner (qui ou quoi que l’on tienne responsable de cette blessure), de ne pas s’abandonner ou s’infliger davantage de souffrance en ne prenant pas soin de la cicatrice pour qu’elle se referme naturellaimant en l’exposant à la lumière et l’air ambiant, sans s’infecter de l’intérieur ou de l’extérieur.
Et je vous partage, bien humblaimant, que lorsque j’étais enfant, j’éprouvais un malin plaisir à arracher mes "gales" (au Québec on nomme ainsi le tissu cicatriciel primaire) ou tout bout de peau morte jusqu’à la zone encore à vif. Et je pouvais remettre cela, deux, trois, quatre ou cinq fois avant de laisser la plaie guérir d’elle-même. Je n’ai pourtant jamais été masochiste ou aimé souffrir physiquement, au contraire. Mais bon, pourquoi aimais-je cette sensation physique de déclencher la douleur? Je crois que je découvrais, bien maladroitement, le pouvoir que je pouvais avoir sur mon corps, ma liberté de choisir comment je peux et veux guérir quand je suis blessée, comment je réagis quand j’ai mal et surtout que je peux me faire mal moi-même.
Ainsi, je prenais conscience de : "Quand je suis blessée, est-ce que je fais alors ce qui est le mieux pour moi?" Et j’ai mis bien bien du temps à comprendre, longtemps après avoir arrêté d’arracher les tissus cicatriciels primaires « visibles », j’ai continué à nier les blessures au cœur, à faire comme si je n’étais pas blessée, à porter le masque de l’insensibilité, voulant faire croire (car croyant moi-même) que je disposais d’une réelle force intérieure … un peu comme si je renonçais à de vraies intentions bienveillantes, à recevoir une attention pleine d’amour - et les soins concrets - plutôt que de risquer de perdre l’appréciation de l’autre (que je considérais à tort comme une marque d’amour) pour la fausse force que je démontrais face à toute forme de douleur.
En terminant, peut-être nous rappeler que le soleil, que la lumière intérieure, c’est … l’amour!
Oui, l’AMOUR est le baume essentiel pour toute blessure et ses séquelles intérieures, car il y en a toujours. Et l’arbre est un grand maître dans cet art de la cicatrisation naturelle, inspirons-nous en si nécessaire.
~ © Jyotananda Sathyam